Ennis del Mar tu n'es pas seul

c'est quoi une planchette japonnaise

Technique permettant de propulser et de renverser son partenaire sur le sol...

Ok j'admets que pour t'envoyer au lit c'est un peu fort de café

mon père pourquoi ces instants de spleen
faut il que le bonheur à portée de main
le bonheur qui nous promet des matins
et des réveils bleus,soudain nous chagrine

pourquoi ces envies de s'allonger, là
fermer les yeux ne plus rien entendre
refuser la violence, le bruit, le coeur las
et s'envoler sans que le coeur se fende

il est des jours comme ça mon ennis
on ne sait pourquoi le doute en moi
s'infiltre par ma peau,puis s'immisce
jusqu'à toucher mon coeur si froid

le soleil est là, la nature se relève
tout va bien, faut il évacuer le passé ?
renaitre, suivre le chemin de la sève ?
sourire aux bourgeons, vivre le reve ?

je le crois mon père,il faut tout leur donner
mon coeur, ma joie, mes envies, mes peines,
croquer dans les fruits de la verte plaine
etre fier et vainqueur fidèle à ses racines
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une petite maison au milieu de la grande plaine
à l'ombre des hautes montagnes, l'ame en peine
un homme à cheval, la tete basse, le coeur lourd
c'est ennis del mar, oui celui du serment sourd

ou vas tu cavalier, à errer dans les herbes hautes
cherches tu un lieu de repos pour ton coeur vide
un chemin pour te mener vers lui au coeur avide
de te donner encore cet amour inconnu des autres

ta monture te mène toujours à l'endroit souhaité,
où vos corps libérés, s'offraient leur plus bel été
à rouler enlaçés, à s'épouser et s'aimer vivants
à plonger dans vos yeux, vos sourires éclatants

descend cavalier, assis toi et regarde autour de toi
ferme les yeux et laisse le vent te conduire à moi
je suis là haut dans le ciel, près du soleil, dans l'eau
de la rivière, oui mon ennis, où tu es tout est beau

sache mon coeur que d'amour tu m'as donné assez
pour pouvoir un jour te le rendre encore plus beau
là haut reposé j'ai compris le poids de ton fardeau
la fragilité de ta cicatrice, le chant du coeur lassé

je sais tu as juré de ne jamais regardé un autre,
de lier ton coeur au mien à jamais pour l'éternité,
j'ai entendu mon ange et je te délivre de cette faute
que tu crois etre tienne, notre amour est fils de liberté

le monde sur terre nous était ennemi, il nous jugeait,
nous attendait, nous guettait pour nous jetter l'approbe,
nous avons lutté toi et moi et avons berner l'homophobe,
car pour un coeur qui se fatiguait, l'autre se partageait

attends moi, je viens, je descends du plafond célèste,
pour m'étendre près de toi, écouter ton coeur en fete,
fermer les yeux de bonheur, et offrir à tes lèvres le miel
celui que j'ai récolté ou volé coulant de ton coeur rebelle
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se rouler dans les blés blonds
jouer de la vie d'un seul bond
aimer au son des notes du vent
se dire que la vie est devant

ennis et jack deux coeurs unis
ennis et jack autour de vous,
tant de visages vous avez réuni
chaque jour est un rendez vous

se confondre à la nature, puiser
dans la rivière la force de l'amour.
nous offrir vos corps au cuir épuisé,
de s'etre tant aimé chaque jour.

et galoper dans les plaines vertes
le visage offert au vent complice,
rire et foncer dans la vallée déserte,
se jouer des autres et du factice

deux cavaliers dans la meme foulée
deux enfants aux dix neuf printemps
nés au creux du nid douillet de l'été
ont gravé leur amour dans le temps
_________________

Vuillermo poète... merci pour ces jolis mots, toujours un plaisir de te lire.

Bambi arrete de te mentir, arrete de souffrir
ça ne vaut pas la peine de courir vers l'avenir,
d'un amour stérile qui t'empeche de revenir,
près des tiens, de te détruire dans du repentir

l'amour est une rose sans épine, offerte au joie
de la complicité, de l'intimité, de la caresse volée
au creux d'un corps connu par coeur, dans l'émoi
des etreintes spontanées et des sincères envolées.

et s'acharner l'ame et le coeur à vouloir dompter
celui qu'on a aimé, qu'on a désiré de tout son etre
sans que celui ne réponde à ces appels désarmés
emmène au prévisible désastre, celui du mal etre




l'amour doit toujours etre partagé, l'amour n'est pas un jeu, une tentative, un essai, un acte manqué, c'est une responsabilité, un pacte, un lien unique et pur où toute matérilalité, interet, cupidité, hypocrisie sont parjures et calculs indignes.
Malheureusement certains s'y brule d'autres en joue

l'aube naissante dévoile les corps impudiques
des amants des montagnes au destin tragique,
ennis et jake deux ilots d'amour pathétiques.
perdus dans le spleen des envolées lyriques,

elle veille leur amour naissant comme une mère
bienveillante, au sourire maternel et complice,
elle les a vus se donner, se bruler à la chimère
ennivrante et naive de la passion qui s'immisce

entre ses deux etres que tout rapproche en un regard
que tout sépare quand la montagne de l'été fait le deuil,
seule la rivière a su préservé ce frele joyau du hasard
dans son lit pour le porté par delà les sombres écceuils.

J'ai fait une variation sur "Rappelle-toi Barbara" de Prévert.
C'est maladroit, sans rime mais j'avais envie de le faire...

ça c'était frankie

Rappelle-toi Ennis,
il pleuvait sur Brokeback ce jour-là
Et tu chevauchais souriant
Epanoui ravi ruisselant
Sous la pluie
Rappelle-toi Ennis
Il pleuvait sans cesse sur Brokeback
[...]
Rappelle-toi 4 ans plus tard
Rappelle toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme d'un pick-up est descendu
Et tu as crié son nom
Jack
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselant ravi épanoui
Et tu t'es jeté dans ses bras
Rappelle-toi cela Ennis
[...]
Oh Ennis
Quelle connerie la vie
Qu'es-tu devenu maintenant
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Ennis
Il pleut sans cesse sur Brokeback
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abîmé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
[...]

Un texte de Fab que j'aime beaucoup quand il se lache ...

Il était une fois une verte vallée
A l'ombre de Brokeback Mountain
Un endroit féerique où seule la magie régnait
Deux doux agneaux s'y étaient réfugiés
Ils avaient pour nom Ennis et Jack.
Cette vallée était pour eux un havre de paix
Un endroit unique où ils pouvaient partager leur amour.
Quelques chevaliers les protégeaient
Ainsi que de douces et charmantes demoiselles.
Cette charmante compagnie avait bâti ici un temple
Celui de la beauté et de la compréhension
Le respect et le partage étaient leurs valeurs.

Mais cette verte vallée n'était qu'un rêve
Les chevaliers devenaient incapable de préserver ce sanctuaire.
La magie s'évaporait, le charme n'opérait plus.
Les chevaliers se mirent donc en quête d'un nouveau paradis
D'un endroit où nos deux héros retrouveraient la sérénité.
Et on ne vit plus nos beaux chevaliers et nos douces dames.
Ils s'étaient éclipsés comme un soupir
Sur la pointe des pieds, emmenant avec eux leur trésor.
On sentait pourtant toujours leurs souffles.

Un seul signe aurait pu les faire revenir
Pour que refleurisse en cette vallée le printemps et la douceur.
Mais nos chevaliers n'avaient plus la force,
Leur belles armures étaient brisées et leur épées cassées.
Ils s'étaient heurtés à trop d'incompréhension.
Ils pansaient leurs blessures en un endroit secret
Une nouvelle vallée où la magie opérait encore.
Avec eux étaient Jack et Ennis
A l'abri des regards indiscrets.
Mais personne ne savait où se trouvait cette verte vallée.

Il était une fois une verte vallée....

Merci Vuill

enfin elle l'a vu
par hasard j'etais retombé dessus sur bbm !!! au temps ou bbm les fleurs sentaient bon

Du temps ou l'on était certains de bien tous se comprendre !!

où certaines valeurs avaient encore de l'importance je dirai même !

où une buche c'était une buche !!

celle là , il y avait longtemps qu'elle était pas passée !!!

il y a encombrement de buche, va falloir faire de la place ! les buches ne rentrent plus !!!

Ohhhh !!! Emilie .....

meeehh ... euh ... quoi .... bon d'accord ..... mais quand meme grrrrr .... !!

faut que ça sorte !!

tant de buches pour une seule personne qu'est ce qu'elle en avale des buches
je suis plié

vuillermo a écrit:

enfin elle l'a vu
par hasard j'etais retombé dessus sur bbm !!! au temps ou bbm les fleurs sentaient bon

Il me semblait que je l'avais aussi posté ici... mais je ne sais plus où!

Come notice me
And take my hand
So why are we
Strangers when
Our love is strong
Why carry on without me?


And everytime I try to fly
I fall without my wings
I feel so small
I guess I need you baby
And everytime I see you in my dreams
I see your face, it's haunting me
I guess I need you baby


I make believe
That you are here
It's the only way
I see clear
What have I done
You seem to move on easy


And everytime I try to fly
I fall without my wings
I feel so small
I guess I need you baby
And everytime I see you in my dreams
I see your face, it's haunting me
I guess I need you baby


I may have made it rain
Please forgive me
My weakness caused you pain
And this song is my sorry


Ohhhh


At night I pray
That soon your face
Will fade away


And everytime I try to fly
I fall without my wings
I feel so small
I guess I need you baby
And everytime I see you in my dreams
I see your face, it's haunting me
I guess I need you baby

(B. Spears)


After all...
After all...

à Bambi

les amours déçus se lovent au creux des larmes,
ils nous bouffent la moelle dans un bruit sourd,
nous otent toute vanité pour rendre les armes,
à ceux qui nous ont offensés, le coeur si lourd.

alors si tu pleures face au soleil, si la lune amie
reste sourde à ta complainte, alors petit ferme les yeux
laisse couler le sel de ta peine sur la cruelle infamie
le flot tarirra un soir tout seul, au crépuscule des dieux

tu sourriras à nouveau, tu puiseras l'énergie nouvelle
celle qui rend l'ame des coeurs brisés si transparente
qu'un jour venu, un autre coeur à la pureté jumelle,
reconnaitra le tien, à l'aube de vos amours naissantes